
Il y a tellement à raconter sur l’Ouzbekistan que je vous parlerais des splendeur de Samarcande dans mon article suivant. En résumé, il y a juste à dire:
C’est beau!
En découvrant les mosquées et les anciennes universités couleur de saphir aux domes turquoises
Notre cri du cœur sera, tout le long de notre voyage: c’est beau!
Pour vous mettre l’eau à la bouche, je vais quand même évoquer une merveille parmi les merveilles…
Le Reghistan
Il n’y a qu’un mot pour décrire les lieux: grandiose.
A l’origine, on l’appelait la place de sable. Elle porte bien mal son nom, c’est une vraie splendeur. C’est un des plus beaux chefs d’œuvre de l’art islamique.
Lors de notre séjour à Samarcande, on y revenait toujours l’admirer, et s’émerveiller devant toute cette beauté.
Chaque visite nous faisait toujours le même effet. Un vrai émerveillement, toujours aussi intense.
Il y a de quoi. Selon l’heure de la journée, une nouvelle lumière, de nouvelles couleurs, d’autres détails apparaissent sur les murs de mosaïque saphir et turquoise que vous n’aviez pas remarqué auparavant.
Le centre de la capitale de Tamerlan.
Autrefois, à cet endroit six artères se rejoignaient sous le dôme d’un bazar. Sous le règne d’Ouloug Beg, (Ulugh Beigh) petit-fils de Tamerlan, le site occupa des fonctions culturelles et politiques.
De 1417 à 1420, il y fit installer une médersa, une mosquée, un hospice, un caravansérail, des bains. On procédait aux défilés militaires et aux exécutions publiques sur la place centrale. Un siècle plus tard, seule la medersa subsistait. Le gouverneur ouzbek fit construire deux medersas de taille comparables pour harmoniser l’ensemble. Depuis, les lieux présentent le même aspect.
Voyons cela de plus près…
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