Istanbul, entre Occident…

Un trait d’union entre l’Europe et Asie. De cette rencontre, est née Constantinople, Byzance, Istanbul. Chaque nom évoque une époque, une civilisation, un visage. Istanbul incarne la preuve qu’aucune culture ne reste imperméable à celle des pays voisins.

Les mélanges sont toujours source de richesse inégalée. Rien que pour ca, Istanbul vaut le voyage, car elle chante l’union de l’occident et l’orient.  On y découvre la richesse d’une culture, d’une histoire, on y apprend divers modes de vie. Istanbul a mille visages. Son charme envoute. On y revient, on se laisse apprivoiser, on a envie de l’explorer, encore et toujours.

Emportée par la foule…

L’arrivée à l’aéroport peut être un peu chaotique.  Il y a de grandes chances de se retrouver happé par une lame de la marée humaine ambiante. De cette façon, vous saurez où aller: la foule se précipite toutes voiles dehors vers les douanes.

On les repère facilement. Un boa constrictor composé de voyageurs se tortille en opérant une lente approche vers l’objectif: la frontière! Quand vous aurez franchi cet obstacle, comptez encore une heure de trajet en bus avant d’arriver au centre ville.

Istanbul la nuit, tous les chats sont gris… Je n’aime pas arriver dans une ville  après la tombée du jour: on perd plus facilement ses repères. La nuit est la porte d’un monde interlope aux codes parfois difficiles à déchiffrer.

A 23h, la place Taksim demeure  encore en effervescence. Des promeneurs, des familles en goguettes, des femmes, parfois avec des enfants, par terre, en attente de la générosité du passant… C’est la face sombre d’Istanbul, ou de n’importe quel coin du monde.

Istanbul l’européene

La ville aux « sept collines » épouse la mer. Elle suit sur les rives du Bogazici, le Bosphore, un chenal où viennent se rejoindre la mer noire et la mer de Marmara. La Corne d’Or divise la partie occidentale. Du haut de la tour Galata, on admire une spectacle extraordinaire: Sultanahmet, sur la première colline, à l’embouchure de la Corne d’Or.  Les minarets de Sainte Sophie et de la mosquée bleue s’élancent comme des flèches vers le ciel. On dirait des fusées. La mer berce l’ensemble.

Beyoglu

C’est la terre européenne d’Istanbul, la partie dite « moderne ». Ici, on déambule sur Istiklal Caddesi, l’ancienne Grande rue de Péra, qui s’étire entre le funiculaire et la place Taksim. En essayant d’éviter se faire écrabouiller par le tram, on longe de superbes bâtisses. Ce sont des anciennes ambassades. On y explore d’anciens passages, de vieux bâtiments d’art nouveau.

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