Certes, ce ne sont pas des tigres, ni des jaguars… Mais ils ont leur mot à crier aussi!
Voulez vous savoir ce qui existe comme animal plus ou moins féroce, ou carrément pas féroce du tout, mais sauvage, ici, à Genève?
Des bisons! serions nous dans le grand ouest américain ou dans la tranquille Suisse? Où sont donc les cow-boys, les indiens, les squaws et les roulottes en route vers la Californie?
Ils sont bien la, déguisés en hommes d’affaires, calés, non sur une selle de cheval, mais sur un rond de cuir.
A l’horizon, se dessinent simplement quelques indigènes, casques avec musique hurlante sur les oreilles. Ils trainent leur fauve canin domestique avec ou sans laisse.
Nous avons sous nos yeux tout une gamme d’animaux pas sauvages du tout, s’étirant du Médor basique au chien de traineau. Ce dernier se demande souvent où est passée sa banquise bien aimée.
Mais que nenni, il est la pour décorer le maitre, n’est-il pas? Ce pauvre Husky joue donc le role de brise glace à pattes. Ca marche assez souvent, ca brise parfois la glace des icebergs ambulant à deux pattes.
Bisons, etc…
Donc revenons à nos bisons. Présentons un peu ces animaux. Ils se déclinent aussi en plusieurs catégories.
Nous avons les bisons des bois, qui galopent dans la Taïga russe, du haut de leur 1,80 m au garrot. Ils soulèvent allègrement leur 700 kilos, les males du moins.
Comme tous ses congénères, Mr bison se promène avec son harem. Mesdames bisons donnent naissance aux bisonneaux neuf mois plus tard après leur diner aux chandelles, l’été, avec celui ci. Ce descriptif correspond à tout le monde dans la famille bison.