Le décor est planté. Une vue spectaculaire avant d’atterrir. Cette descente vers l’océan indien orné de bulles turquoises soulignant le blanc immaculé des plages des atolls.
Du bleu, rien que du bleu, ou presque, celui du ciel, de la mer et celui des rêves qui se concrétisent.
Ca vous met l’eau à la bouche! On adore l’ile de Maafushi.
Sur terre
Nous avions donc montré patte blanche aux douaniers anti-alcool et saucisses. Ensuite, gouté à l’ivresse d’envoyer voler nos peaux d’ours hivernales.
Elles s’étaient subitement transformées en fournaises portatives. Idem pour nos lourds brodequins conçus pour affronter les froids occidentaux. Nous leur avions fait faire des loopings.
Après avoir franchi la haie de membres des personnels des hôtels armés de leur pancarte, venus chercher leurs ouailles, nous trouvions notre pilote de speedboat.
Au départ de l’aéroport, un bateau public peut vous y conduire aussi. La traversée sera plus longue (1h30).